Bleus sur les fesses

Tunisiacture 91

Le parti AKP d’Erdogan (qui est censé adopter une posture neutre en tant que président), vient de perdre la majorité aux législatives grâce, notamment, à l’émergence du parti HDP qui est né au cours des évènements de GEZI en 2013. L’arbre est devenu un symbole de résitance que HDP a adopté comme logo.

 

AmarB_bleus sur les fesses

Le fantôme du #bardo

Tunisicature 90

AmarB_le fantôme du bardo

#Bardo #Tunisie

#Maboulistan

 

 

God save the king

Tunisicature 89 : EXIL

god save the king

Tunisicatures 87 et 88

Tunisicatures 88

#tunisie #censure

champs de mine

Tunisicature 87

#Tunisie  #chokribelaid

#nopasaran

amarB_réeducation sepia

#tunisiecaricature

 

 

 

Ceci est une révélation

Tunisicature86 : Ceci est une révélation

#tunisie #football #racisme

Tunisicatures_ceci est une révélation

 

Les répercussions de l’élimination polémique de la Tunisie par la Guinée équatoriale, en quart de finale de la CAN-2015, sont de plus en plus inquiétantes. Mardi 3 février, l’Association des étudiants et stagiaires africains en Tunisie (AESAT) a rapporté une « dizaine d’agressions » ayant visé la communauté subsaharienne après l’élimination de la Tunisie de la Coupe d’Afrique des nations, soulignant que ces attaques racistes n’étaient « pas isolées ».

« L’AESAT a répertorié une dizaine [d’agressions], notamment dans les villes de Tunis et Sfax », souligne-t-elle dans un communiqué de presse – disponible en bas de cet article – précisant que des plaintes ont été déposées auprès des autorités. L’association a par ailleurs recensé « des cas d’agressions verbales » ainsi que « des propos injurieux et racistes » sur les réseaux sociaux, rapporte le document.

Source : France24

Article complet : http://www.france24.com/fr/20150203-can-2015-agression-racisme-anti-noirs-tunisie-elimination-guinee-equatoriale-football/

 

 

#tunelec : Décembre 2014

#Tunisicature 84 : La gifle ou la baffe

AmarB_la gifle ou la baffe

Vote blanc: Vote sanction ou poubelle ?

Pour Iheb, les choses sont un peu moins claires et son avis n’est pas encore tranché. Au premier tour, il a voté pour son candidat de coeur qui, faute de voix, n’a pas pu accéder au deuxième tour. Aujourd’hui, il ne sait que décider: « Sincèrement, j’hésite entre vote blanc et abstention. J’ai quelques semaines pour prendre ma décision finale. Mais si jamais je change d’avis au dernier moment et je décide de voter, je sais déjà pour quel candidat je ne donnerai jamais ma voix ! » Mais qu’est ce que le vote blanc ? C’est simplement le fait de ne voter pour aucun des candidats et de glisser dans l’urne un bulletin vierge.

Source: http://www.letemps.com.tn/article/87846/entre-le-marteau-et-l%E2%80%99enclume

#tunelec #marzouki #BCE #ennahda

 

#Tunisicature 83 : Le bleu est une couleur puante

AmarB_le bleu est une couleur puantebis

#tunelec #BCE #Benali

Le corbeau et le tourtar

Tunisicature 81

 

Marzouki De La Fontaine_AmarBe

Les trois derniers mois en 4 dessins.

Tunisicature 81 : Matière inflammable détectée

 

AmarB_matière inflammable détectée

L’histoire avait choqué sur les réseaux sociaux. Eya, une collégienne de 13 ans, est morte brulée vive par son père. Une marche blanche est organisée pour lutter contre le silence des médias et alerter sur le traitement des femmes en Tunisie. Parmi les organisateurs, Faten Abdelkefi, et Amal Bint Nadia, journaliste.

Lutter contre « l’indifférence »

Les circonstances du drame ne sont pas encore clairement établies. Selon certains témoignages, Eya serait rentrée du collège le 28 mai, en compagnie d’un camarade de classe, d’autres affirment que le père aurait aperçu sa fille en compagnie de camarades à l’intérieur du collège. Un acte qui aurait poussé son père à l’asperger d’essence avant de la brûler.

Transportée à l’hôpital, Eya est décédée des suites de ses blessures. Le père a été arrêté, il présentait des signes de brûlure. Selon Alala Rhouma, porte-parole du ministère public, le père d’Eya est toujours détenu, son procès… (suite de l’article : http://www.huffpostmaghreb.com/2014/06/11/eya-marche-blanche_n_5483655.html)

 

 

Tunisicature 80 : Main innocente

 

AmarB_Main innocente

* Traduction de la deuxième case :

Casse-toi enculé (la traduction littérale donnerait: Mais va t-en couilles).

 

Après avoir passé 2 ans en prison pour avoir exprimé pacifiquement une opinion, Jabeur Mejri a été libéré le 4 Mars 2014 mais interdit de circulation. Rappelons que Jabeur Mejri a bénéficié d’une grâce présidentielle spéciale qui a été promise à maintes reprises mais toujours retardée.

Jabeur Mejri a annoncé clairement son souhait de quitter la Tunisie pour s’envoler vers un pays plus démocratique et respectueux des droits de l’Homme et notamment de la liberté d’expression.

Le comité de soutien de Jabeur avec la FIDH ont mis au point les détails logistiques du refuge politique de Jabeur Mejri. Un seul point empêchait ce nouveau départ ! Jabeur Mejri a l’interdication de quitter le territoire, suite au dépôt opportun d’une plainte relative à des faits anciens (datant de l’époque où il travaillait pour la SNCFT). Renouant avec la tradition tunisienne des procès d’opinion de l’ère Ben Ali, un motif de droit commun a été invoqué pour justifier le maintien en détention d’un prisonnier d’opinion.
La raison du plus fort est toujours la meilleure !

Le 17 Avril 2014 / 15 h 30

N’ayant pas eu de nouvelles du dénouement de cette deuxième affaire, Jabeur Mejri s’est rendu au bureau du juge d’instruction n°3 au tribunal de première instance de Mahdia, pour demander plus d’informations sur la confrontation avec le plaignant de la SNCFT.

Jabeur Mejri a été accueilli par des remarques déplacées, insultantes et mal traité (ex-détenu et de surcroît pour athéisme !). Le greffier l’informe alors que la confrontation a eu lieu il y a une semaine. Jabeur Mejri s’étonne et demande pourquoi ni lui ni son avocat n’ont été informés de cette convocation. Face au silence et à l’absence de réponse ses nerfs ont lâchés et l’altercation verbale n’a pas pu être évitée.
Le greffier a déposé une plainte ; le jour même la plainte est déférée à la police judiciaire de Mahdia.

Le comité de soutien à Jabeur Mejri

http://jabeurghazifree.blogspot.fr/

 

Tunisicature 79: Magical dog

AmarB_magical dogs copy

Le blogueur Azyz Amami n’est pas seulement un « jeune homme sympathique » de 31 ans, comme l’a dépeint le premier ministre tunisien, Mehdi Jomaa, en présentant, mercredi 14 mai, le bilan de ses cent jours de gouvernement. Azyz Amami est l’une des voix les plus connues qui a émergé lors de la révolution de janvier 2011. Il est en passe de devenir, aussi, le symbole d’une jeunesse frondeuse en butte à des lois répressives héritées du régime de Zine El-Abidine Ben Ali.

Interpellé par la police, mardi, à Tunis, dans la banlieue de la Goulette, en compagnie du jeune photographe franco-tunisien Sabri Ben Mlouka, 27 ans, Azyz Amami a été présenté devant le procureur jeudi, pour détention et consommation de « zlata » (cannabis). Les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt et leur procès est prévu le 23 mai. Ils encourent un à cinq ans de prison ferme, 1 000 à 3 000 dinars (450 à 1 350 euros) d’amende selon la loi tunisienne.

Des manifestants se sont rassemblés devant le tribunal de grande instance de Tunis pour réclamer leur libération. Leur arrestation avait soulevé une vive émotion et déclenché une campagne d’une rare intensité sur les réseaux sociaux.

http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2014/05/15/tunisie-l-arrestation-d-une-figure-de-la-revolution-relance-le-debat-sur-la-loi-52_4418989_1466522.html

« Le blogueur tunisien Azyz Amami, rendu célèbre par la révolution de 2011, a bénéficié d’un non-lieu vendredi à l’issue de son procès pour détention de cannabis. Une affaire fabriquée de toutes pièces par la police, selon l’accusé. »

http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2014/05/24/le-celebre-blogueur-tunisien-azyz-amami-beneficie-d-un-non-lieu_4425091_1466522.html

 

Lire aussi :

http://www.france24.com/fr/20140214-rappeur-weld-el-15-tunisie-dans-la-merde/

 

Tunisicature 79 : Hommage aux martyrs

Les familles des martyrs de la révolution se mobilisent mercredi dans la capitale tunisienne. Objectif : protester contre la sentence rendue en appel, le 11 avril, par le tribunal militaire de Tunis contre d’ex-responsables de l’ancien régime de Zine el-Abidine Ben Ali.

« S’ils sont coupables, ce n’est pas assez, s’ils sont innocent la peine est trop lourde ».
Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Révolution tunisienne | Tunisie : les familles des martyrs de la révolution réclament plus de justice | Jeuneafrique.com –

AmarB_Hommage aux martyrs